Des cas similaires étaient publiées partout à l’étranger comme en 2019 avec 12 chiens qui décèdent dans un même lac près de Berlin ou encore en 2020 au Lac de Neufchâtel en Suisse. 


De 2000 A 2024 on comptabilise des centaines de chiens décédés brutalement en France par les neurotoxines de cyanobactéries.


Ils ont présenté des troubles neurologiques, associés très fréquemment à une altération de l'état général ainsi qu’à des troubles respiratoires. 


Leurs taux de mortalité après les premiers symptômes est de 50%.

Cette mortalité canine brutale et choquante, a contraint les états dans la prise en compte du risque sanitaire pour l’humain exposée aux mêmes eaux. 

 

A ce jour, le risque le plus meurtrier pour l’humain et l’animal reste silencieux médiatiquement et invisible par le public, pourtant en dehors de la mort brutal, la toxine la plus développé sur nos plans d'eau provoque à long et moyen terme des maladies très graves tel que : 

-Des cancers, 
-Des atteintes du foie, 

-Des atteintes du plasma sanguin,

-Des atteintes spermatiques,
-Des Maladies Neurodégénératives 
(Sclérose latérale amyotrophique, Parkinson, Alzheimer)    

  

Si les autorités sanitaires s’accordent sur la sous-estimation des cas humains d’intoxications aux cyanotoxines du fait que ses pathologies ne sont pas immédiates, c'est principalement dû à une absence totale d’investigation.

 

A ce jour, si il n'existe aucun comptage des Décès liés au cyanobactéries planctoniques ou benthiques, il existe encore moins de recherche de corrélation des maladies à long terme provoqué par les hépatotoxines. 

De quoi on parle ?

Depuis le 21 siècle de nombreux cas d’intoxications aigues se multiplient  sur tous les continents. Intoxication mortelle d’animaux domestiques (bovins, ovins, chevaux, porcs et chiens) mais également des intoxications affectant des poissons, canards, oiseaux d’eau, rats musqués, visions, mouettes, rhinocéros et plus récemment en 2020, 300 éléphants périssaient au Botswana. 

 

Comme dans nombreux pays la France n’est pas épargnée dans l’impact de la faune et de la flore dont le stade ultime de la mort des écosystèmes par anoxie des plans d’eau sera de plus en plus fréquent.  

 

Bien avant ces stades trop visibles pour échapper aux médias, il existe des stades invisibles du poison qui se répand sur toutes nos eaux de surfaces et qui ont commencé dès le Début des années 2000. 

 

A la même période plus de 30 Chiens décédaient principalement dans le Tarn & la Loue. 

 

Des séries Morbide ont continués comme en Aout 2017, ou, 8 chiens décédaient en quelques jours d’intervalles seulement après s’être  abreuvés dans la Loire. 
« La Loire est bel est bien toxique », titrait alors 20 minutes. 

 

La même année l’hécatombe continuait avec plus de 20 cas de suspicion d’intoxication, rien que dans la Loire.  

 

En 2018 les décès de chiens continuaient ajoutant l’Ardèche a la liste.

 

 

 

Comprendre les cyanobactéries 

 

Elles sont l’origine de la vie sur terre basée sur l’oxygène. 

 

Leur grande capacité d’adaptation leur permette de coloniser un grand nombre de milieux terrestres et aquatiques (eaux douce et salée). Certaines espèces sont adaptées à des environnements extrêmes tels que glaciers, sources chaudes ou cendres volcaniques. 

 

Elles sont donc naturellement présente dans les cours d’eau en petit nombre et jouent un rôle dans l’équilibre aquatique.

 

Si elles ont la capacité de transformer la lumière en oxygène pendant la journée, elles la consomment pendant la nuit. C’est ainsi qu’un trop grand nombre de cellule peut provoquer l’anoxie d’un plan d’eau et la mort de son écosystème. 


Il suffit de quelques heures à quelques jours pour que les cyanobactéries prolifèrent et envahissent un plan d’eau.

 

Pendant leur croissance les cyanobactéries peuvent produire des toxines qui seront principalement libérées à l’extérieur de leurs cellules lors de la sénescence ou lors d’attaques algicides ou virales (cyanophages, cyanovirus naturellement présents en milieux aquatique),…

 

La production de toxines  peut  être  extrêmement  rapides et augmenter  par  un  facteur  de  six à  l’intérieur  d’une  période  de  36  heures. 

Elles vont agir, selon les différentes familles de toxines; sur le foie, le système nerveux, la peau, ... 

 

Il est donc très difficile d’estimer la dangerosité d’une fleur d’eau vu la variabilité des cibles, et bien que   les méthodes   d’identification,   de   décompte   cellulaire, de   dosage   des cyanobactéries  et  de  leurs  toxines  soient  efficaces  et  précises,  il  est  en  soi  très  difficile d’estimer la toxicité d’une fleur d’eau. 

 

Si la présence et le rôle des cyanobactéries  dans l’écosystéme est naturelle,  la fréquence,  l’intensité et la multiplication  des  cyanobactéries sont l’unique conséquence de la pollution humaine. Essentiellement des engrais chimiques agricole.